Ladestruction du rĂŽle du pĂšre entraĂźne celle de la famille et de la sociĂ©tĂ© entiĂšre. Des millions de garçons et de filles n’ont pas de pĂšre : dĂ©sertion, incarcĂ©ration, sĂ©paration. Ça IndianSummers - Saison 1 (7/10) Intrigues, passions secrĂštes et luttes pour l'indĂ©pendance Au pied de l'Himalaya, le crĂ©puscule de l'Empire britannique des Indes dans TrinityRodman, pas qu'au nom du pĂšre La fille de Dennis Rodman a choisi un autre sport que le multiple champion NBA. À 18 ans, elle fait partie des meilleures jeunes footballeuses des États Uneexcellente prĂ©misse mariĂ©e Ă  une cinĂ©matographie de premier ordre-cela fera Ă  coup sĂ»r une sĂ©rie mĂ©morable. Qu’avez-vous pensĂ© de la sĂ©rie Apple TV+ Black Bird saison 1, Ă©pisode 1 ? Commentaires ci-dessous. Vous pouvez regarder cette sĂ©rie avec un abonnement Apple TV+. Published by Netflix News Staff on July 9, 2022 Episode1, Épisode 1 de la Saison 2 de Au Nom du pĂšre, une sĂ©rie TV de Adam Price lancĂ©e en 2017. Vay Tiền TráșŁ GĂłp 24 ThĂĄng. ï»ż2 saisons Nouveaux Ă©pisodes S2 E10 - Épisode 10S2 E9 - Épisode 9S2 E8 - Épisode 8 Regarder maintenant NoteGenresDrame , Made in Europe Casting RĂ©sumĂ©De nos jours, le destin d’une famille de pasteurs de l’Église nationale du Danemark et le parcours croisĂ© de deux frĂšres, chacun cherchant sa voie, entre Ă©veil Ă  la foi et Au nom du pĂšre streaming - toutes les offres VoD, SVoD et ReplayVous pouvez acheter "Au nom du pĂšre" sur Orange VOD en tĂ©lĂ©chargement. Ca pourrait aussi vous intĂ©resser Prochaines sĂ©ries populaires Prochaines sĂ©ries de Drame Cet Enfer me ment Au travers des portes du temps, de pĂšre en fils, insidieuse et vĂ©nĂ©neuse, elle se rĂ©pand dans le silence des murmures, vĂ©nale contagion des invariants de l’ñme. VirilitĂ©, masculinitĂ©, impasse des travers. Patrimoine des gĂšnes. Sulfureux hĂ©ritage gĂ©nĂ©rationnel. Au fil de ce chapelet d’injonctions, le chemin de la soumission infantile reste un processus d’identification Ă  l’homme de demain. Attributs de celui qui, en devenir, se devra de porter avec ardeur et fiertĂ©, le flambeau de tout un seul clan rempli du ridicule de cette fatuitĂ©. Tu seras un homme, mon fils ! »Tout est fini, tout est foutu. Rien n’est plus. Rien ne va plus. On se regarde Ă  peine, par pudeur, par effraction, le cƓur Ă  la traine. Une parole, un geste, une lueur. Peine perdue. Mutisme de forcenĂ©. Comment habiter ces silences, cet enfermement. Sauvage naufragĂ©, taiseux, verrouillĂ© Ă  double tour. Crime de la parole et tourments du dialogue. Au commencement Ă©tait le Verbe. Les femmes ne sont que des pipelettes. Parler, ça ne sert Ă  rien. Nous, on se comprend trĂšs bien comme ça
 »Point d’effusions de nature Ă  afficher quelconque sensibilitĂ© ou Ă  s’exposer au regard de l’autre. Comme si le mot en lui-mĂȘme, portait toutes les racines de profonds renoncements. FiertĂ© dĂ©placĂ©e, orgueil mal embouchĂ©. L’expression des sens hors d’atteinte, dĂ©tournĂ©e de toute interprĂ©tation, dĂ©nuĂ©e de quelconque explication. L’esprit le plus cartĂ©sien possible, coupĂ© d’émotions, blindĂ© d’amertume. Point d’évasion, nulle Ă©chappatoire. Juste traverser sans encombre. Que la raison ait toujours cette assez belle façade. ProphĂ©tie de pacotilles. Un homme ça ne pleure pas. Les larmes, c’est pour les chochottes. ArrĂȘte donc de chouiner. Mouche ton nez. Remonte tes chaussettes. Tu t’es vu partir, avec ta dĂ©gaine de travers, tes bras ballants, tes genoux cagneux, tes deux mains gauches. Redresse-toi. Sois fier. LĂšve la tĂȘte quand je te parle. Bats-toi, bon sang. Pas de mauviettes chez nous. Allez avance ! »Quelque chose de renfermĂ© sur soi, de sĂ©questrĂ© en soi. Impression de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur de. Sensation de vide, d’imposture. Illusions dĂ©risoires. Les mots brisĂ©s d’émotion. Solitaire et solitude. De quelle raison, de quelle croyance, de quel Dieu. Dieu le PĂšre ! Incarnation de la toute puissance divine. Et si demain Ă©tait la nuit ? Et toutes ces petites phrases cinglantes qui claquent comme un coup de fouet, un coup de semonce. Rappel Ă  l’ordre. Sommation avant soumission. La frustration trouve partout son grain oĂč sont distillĂ©es vĂ©ritĂ©s frelatĂ©s, croyances arriĂ©rĂ©es et immuables traditions qui paralysent tous rĂȘves de libertĂ©. Ainsi prospĂšrent les miracles vĂ©nĂ©neux des hommes, souverains d'illusions fallacieuses. N’oublie pas que tu portes mon nom
. » Puissance du je incarnĂ©, exacerbĂ©. L’autre, diffĂ©renciĂ© ne pouvant exister. Se fondre et se confondre dans le mĂȘme moule, en pensĂ©es et en actions. Marcher dans les pas de celui qui trace la route, de celui qui jamais ne doute. AffirmĂ© dans cette espĂšce de force, de consistance. Sur de lui, fidĂšle Ă  ses principes, en profond accord avec les idĂ©aux des ses aĂŻeux. Dans la lignĂ©e de la rĂ©pĂ©tition des principes et de la reproduction du moi idĂ©al. En toutes circonstances, je suis le PĂšre
 »Chacun reçoit sa part de vie, plus ou moins libre de s’en satisfaire. On grandit comme on peut avec ses faiblesses et ses propres failles. La construction est plus ou moins bancale avec un Ă©tayage fait de bric et de broc. Le petit garçon sur lequel se portent toutes les projections, grandit tant bien que mal en se jurant de ne jamais ĂȘtre adulte. Croix de bois, crois de fer
. Certainement pas un de ces hommes lĂ , qui gesticulent leur trop plein de testostĂ©rone. Intime promesse d’ĂȘtre diffĂ©rent. L'heure n'est plus aux marivaudages. BouleversĂ©e par la dĂ©tresse qui somnole, l'existence, telle un coup de tocsin, se mue en incendie. Et si un jour tu trouves une femme couchĂ©e, surtout ne la relĂšve pas. Profite, tant que tu le peux. Sois un homme
. » Verts tiges © Vent d'Autan Des mots qui rĂ©sonnent encore Ă  tue-tĂȘte, en Ă©cho avec ceux de la sacro Sainte MĂšre Nitouche, entre chaleur effroi polaire les hommes, tous des salauds
 ». Aversion des mƓurs. Mensonge du pouvoir et du savoir masculin. L’individu tributaire des humeurs de son membre Ă©rectile. Grandeur et dĂ©cadence du bourgeon de la virilitĂ© exister, ĂȘtre Ă  la hauteur, en accord avec soi et en dĂ©saccord avec cette incarnation du mĂąle. Fuir ce schĂ©ma lĂ . Jamais assez, jamais Ă  la hauteur, toujours Ă  la traine, Ă  la ramasse dans l’ombre du grand chĂȘne. La marche est bien trop haute pour espĂ©rer ĂȘtre franchie. Ravaler ses rancƓurs, se taire et abdiquer. Ne pas faire de peine. Rien n’aura suffit. Sois un homme, un vrai. Pas une lopette, un moins que rien. Dans la vie il faut travailler dur pour gagner sa croute pour faire vivre sa famille. Se reposer, c’est peine perdue, chez nous autres, pas de place pour les fainĂ©ants
. »Violence physique, pression verbale, dĂ©gĂąts psychiques. Cocktail explosif. Il en aura fallu du temps pour en venir Ă  bout avant de s’accepter dans sa propre diffĂ©renciation. L'enfer, parfois, a les pieds bien ancrĂ©s sur terre. Il faut ĂȘtre ferme. Pas de faiblesse. Une main qui donne et l’autre qui prend. Tu n’as pas la poigne, pas la carrure. Tu n’as pas su Ă©lever tes gosses. Moi, ton fils je l’aurai dressé  » La filialitĂ© humaine entachĂ©e par quelques verres de trop. Comme si l’apprentissage de la vie n’était qu’une question de dressage, rapport de force entre individualitĂ©s. Exister ou plier, s’aplatir telle une larve, se soumettre Ă  l’autoritĂ© suprĂȘme. Dictature des familles. Postulat des diktats. Le patriarche a perdu quelques plumes, mais le vieux mĂąle dominant rugit encore. Peine perdue. PĂšre et fils, impossible les racines du mĂąle. Mauvais karma. Le tout premier pas, celui qui coĂ»te © Vent d'Autan Juste une porte dĂ©robĂ©e pour s’extirper de l’influence. S’affranchir, s’extraire du cercle infernal de la rĂ©pĂ©tition. Briser les codes de la table des lois patriarcales. Exister diffĂ©remment, en tant que soi, affranchi du pouvoir et du devoir. Être diffĂ©rent d’eux, de cette lignĂ©e de ses pairs, se dĂ©raciner. Endosser des milliers de costumes avant de trouver l’habit propre Ă  son personnage. Tout sauf un long fleuve tranquille pour sortir de l’ombre. Bien plus qu’une quĂȘte, la traversĂ©e de l’intime en terre inconnue. Le voile de la pudeur. Excessive, sauvage, tĂ©nĂ©breuse, ombrageuse, irrĂ©pressible le courage d’ĂȘtre, en accord avec soi. Se livrer pour mieux se dĂ©livrer. PATRONYME - Porter un nom de famille semble ĂȘtre une Ă©vidence socio-culturelle. Ce qu'est une famille est sujet Ă  dĂ©bats, Ă©volue, et les choix possibles d'unions se diversifient plus ou moins rapidement selon les pays. Y a-t-il une logique Ă  imaginer que le nom du pĂšre doive ĂȘtre prĂ©fĂ©rentiellement attribuĂ©? PATRONYME - Porter un nom de famille semble ĂȘtre une Ă©vidence socio-culturelle. Ce qu'est une famille est sujet Ă  dĂ©bats, Ă©volue, et les choix possibles d'unions se diversifient plus ou moins rapidement selon les pays. Pour le nom de famille, dĂ©bats Ă©galement, Ă  propos du nom de famille de la femme, de l'homme, assemblage de deux noms, et surtout des choix possibles pour des enfants communs, biologiques ou non. Y a-t-il une logique Ă  imaginer que le nom du pĂšre doive ĂȘtre prĂ©fĂ©rentiellement attribuĂ©? Une justification Ă  chercher dans la biologie et la nĂ©cessitĂ© de tracer la filiation par le patronyme? En Chine, c'est depuis 5000 ans environ que les noms de famille sont d'usage, et en Turquie, depuis moins de 100 ans. La diversitĂ© des noms de famille varie aussi beaucoup selon les pays, et les cultures. En Grande-Bretagne, il existe environ 1,6 million de noms de famille. Si on chiffre cela en pourcentage de la population portant les 10 noms de familles les plus frĂ©quents, ils seraient environ 1,6% en France rĂ©partis sur ces 10 patronyme frĂ©quents, le nom de famille "Martin" Ă©tant en tĂȘte de liste. 10% au Japon et 20% en Espagne porteraient un des 10 noms de famille les plus frĂ©quents de leurs pays respectifs "Sato" pour le plus commun au Japon, et "Garcia" pour le plus commun en Espagne. Au niveau mondial, le nom de famille portĂ© par le plus grand nombre serait "Li". On peut d'ailleurs utiliser des sites de recherche spĂ©cifiques pour savoir combien de porteurs du mĂȘme patronyme se trouvent dans certains pays, comme en France par exemple. Au vu de cela, la transmission du nom du pĂšre n'assure donc certainement pas une reconnaissance ou identification systĂ©matique de celui-ci. Si on parle de gĂ©nĂ©tique, un ancĂȘtre commun, 10 gĂ©nĂ©rations en amont, ne donne qu'un millioniĂšme d'ADN en commun. Mais c'est plus simple pour le chromosome Y. On peut actuellement examiner le lien entre les variations de sĂ©quence du chromosome Y, en terme de traçabilitĂ© d'une lignĂ©e par les hommes et leurs descendants mĂąles, et celle du nom de famille paternel, le patronyme. Le chromosome Y passe nĂ©cessairement par la lignĂ©e mĂąle. Le patronyme est transmis le plus souvent encore, sur ce mĂȘme mode, par les hommes Ă  leur descendance mĂąle. On observe effectivement une concordance, et bien Ă©videmment d'autant meilleure que le nom de famille est rare. Les Ă©vĂšnements modifiant cette concordance sont bien entendu les nombres de fondateurs d'un nom, la non-paternitĂ© qu'on estime en gĂ©nĂ©ral se situer entre 1 et 10% des conceptions, selon les Ă©tudes, les mutations spontanĂ©es ou divergence gĂ©nĂ©tique sur le chromosome Y, et l'adoption de garçons. S'il fallait donc centrer la paternitĂ© et l'unitĂ© familiale autour du nom du pĂšre, il serait donc nĂ©cessaire de garantir que le chromosome Y du pĂšre va bien avec le patronyme, donc exclure les situations oĂč cette concordance n'est pas assurĂ©e les filles, mais aussi les enfants adoptifs, les patronymes frĂ©quents, les divergences gĂ©nĂ©tiques et mutations spontanĂ©es du chromosome Y, et les non paternitĂ©s. En rĂ©sumĂ© si le nom du pĂšre devait aller avec une certitude biologique de filiation, il vaudrait mieux nommer la famille d'aprĂšs l'identification molĂ©culaire des caractĂ©ristiques du chromosome Y du gĂ©niteur! Une dĂ©monstration scientifique avant un patronyme? Pour mieux faire, penser la famille comme une entitĂ© qu'on peut construire sur d'autres paramĂštres, et de lĂ , un nom de famille qui ne s'accroche pas sur une tradition patrilinĂ©aire, qui a perdu son sens passĂ© de traçabilitĂ© d'un probable gĂ©niteur. Une autre logique serait celle du symbolique, le nom du pĂšre, car c'est lui, ce qu'il reprĂ©sente, indĂ©pendamment de ses chromosomes, de son rĂŽle supposĂ© ou confirmĂ© de gĂ©niteur? Mais ça serait ramener bien bas la fonction du pĂšre, de penser qu'il doit prouver ce qu'il reprĂ©sente par la marque de son nom. Dix-huit mois aprĂšs la mort d’August, les membres de la famille du pasteur Johannes Krogh essaient de surmonter leur deuil comme ils le s’est installĂ© avec Amira et sa petite fille, Safiyah. Le couple a fondĂ© Open Mind, une sociĂ©tĂ© de dĂ©veloppement personnel en pleine croissance, portĂ©e par la sortie du deuxiĂšme livre de Christian. Mais celui-ci revit en permanence la scĂšne traumatique du dĂ©cĂšs de son frĂšre et peine Ă  agir comme un a donnĂ© naissance Ă  Anton, le fils d’August. La jeune femme est en colĂšre contre Johannes, selon elle le seul responsable de la mort de son compagnon. AprĂšs avoir rejoint un groupe de parole sur le deuil, elle a entamĂ© une relation extraconjugale avec l’un de ses membres. De son cĂŽtĂ©, Johannes ne parvient pas Ă  refaire surface depuis la mort de son fils. Un conflit de plus Ă©clate avec ses supĂ©rieurs, lorsque ces derniers l’informent de leur intention de mettre en vente l’église de voyage de l’ombre vers la lumiĂšre. C’est ainsi qu’Adam Price rĂ©sume le retour de la famille Krogh et de ses nombreux tourments. Comment faire le deuil quand on perd un ĂȘtre cher, que notre amour est sans foyer», comme le dit Adam Price?Toujours au bord du gouffre, le chef de famille Johannes Krogh interprĂ©tĂ© par le magnĂ©tique Lars Mikkelsen, le prĂ©sident russe dans House of Cards dĂ©multiplie Ă  lui seul l'intensitĂ© de cette seconde saison, hantĂ© par la recherche obsessionnelle de rĂ©demption et le vacillement de sa foi de pasteur

au nom du pÚre série streaming